Un esprit tatillon pourrait, à propos de ce thème, dire que la photo, à la base, est déjà le résultat de la lumière qui « s’imprime » sur une surface sensible à travers les lentilles de l’objectif… Il faut donc trouver devant l’optique de l’appareil, une surface ou un phénomène plus ou moins opaque à travers lesquels le monde devient tout à coup moins lisible, déformé et qui s’entoure alors d’une part de mystère en stimulant l’imaginaire. Un rideau de pluie, une vitre embuée, un pétale de fleur frappé par le soleil, tout cela (entre autres) peut faire l’affaire et produire des effets intéressants.















